En partant des trois notions proposées pour cette journée d’étude « Environnement, transdisciplinarité, actualité », l’intérêt est évidemment de questionner les notions perverses, manipulatrices, instauratrices, élaborées par le pouvoir en place du capital mondial. Comment sont-elles véhiculées, imposées, expérimentées sur la société, et dont le propos final serait encore et encore le profit, l’accumulation de capitaux et l’avilissement humain ? C’est donc une invitation à aborder ces questions politiques, économiques et sociales, à s’y intéresser, pour essayer de trouver une issue poético- anthropologique, et en tant qu’artistes agir. Quelques exemples d’actions seront donnés comment agents participatifs.